Plus de la moitié des sociétés de 50 salariés ou plus, s’impliquent dans la responsabilité sociétale. Nous en faisons partie !
Notre sort est indissociable de celui de l’environnement. Arrêtons de nous croire au-dessus ou en dehors. Définitivement.
La RSE s’avère même être vecteur de performance économique, portant l’innovation et le progrès.
Selon une étude de Goodwill-management, il y a une réelle relation entre labellisation RSE et la performance économique des entreprises. Pour ces dernières, quand elles ne dépassent pas 250 salariés, leur taux de croissance est d’environ 7,6% par an, contre 1,6% seulement en moyenne. C’est un levier de performance énorme.
La Responsabilité d'entreprise : plus qu'une obligation, un levier de performance valorisant !
Tout le monde n’est pas labelisé pour autant, et les implications peuvent être moindres avec des pratiques différenciées. Certaines entreprises vont être plus attentives aux enjeux de développement durable dans leur politique achats ou au respect de la biodiversité. D’autres vont plutôt agir sur le volet social. Une des actions les plus courantes reste la prévention ou le recyclage des déchets.
Il faut remonter 70 ans en arrière pour voir apparaitre le concept actuel de RSE par Mr Howard Bowen qui utilise cette notion morale pour la première fois dans son ouvrage ‘the Social Responsabilities of the Businessman’. Il est considéré comme le père fondateur de la RSE. Cette notion va ainsi se diffuser dans tout le milieu entrepreneurial.
En 2013, la norme ISO 26000 voit le jour : c’est le 1er véritable standard international en matière de responsabilité sociétale. Elle concrétise de longues années de négociations et représente un consensus entre de nombreuses parties prenantes, à travers le monde entier.
La commission européenne, elle, définit en 2011 la responsabilité sociétale des entreprises, s’articulant autour de ses 3 piliers : économique, social et environnemental.